Vous voulez vous renseigner sur d'autres actions c'est ici
Un exemple de concertation en Région Languedoc-Roussillon autour d'un projet de fast food :
http://www.vaunage.net/petion-saintdionisy.htm
=> le maire soutien les opposants qui ont recueillis environ 1000 signatures, pour un village de 400 habitants, c'est ce que l'on appelle une prise de conscience collective !
http://www.dailymotion.com/video/xmi1c9_non-au-mac-do-a-saint-dionisy-gard_news
Toujours en Languedoc-Roussillon :
Ce blog "proximités" concerne toutes les actions de résistance en Languedoc-Roussillon : anti-Malbouffe, anti-Agrexco, anti-huile de palme, anti-gaz de schistes, ... bref tout les abbus dont notre région est victime.
D'autres luttes anti-McDo ailleurs :
Le collectif anti-MacDo de Paris centre qui a réussi à faire échouer le projet :
https://www.facebook.com/messages/#!/pages/Collectif-anti-Macdo-Paris-centre/174307122580811?sk=info
Les parents d'élèves de Franconville qui se battent pour que le MacDo n'ouvre pas près des établissements scolaires :
http://www.francesoir.fr/actualite/sante/fast-food-mcdo-seme-discorde-151776.html
Fast-food : Le McDo sème la discorde
A Franconville, dans le Val-d’Oise, des parents d’élèves militent contre l’ouverture prochaine d’un restaurant McDonald’s à proximité de trois établissements scolaires.
McDo contre cantines, la guerre est déclarée : à Franconville, l’ouverture prochaine d’un fast-food à proximité de plusieurs établissements scolaires reste en travers de la gorge de parents inquiets. « On se sent trahi. On a éduqué nos enfants pour leur apprendre à manger équilibré et on nous met le ver au cœur de la pomme ! », lâche Michel Pierret, représentant local de la fédération des Parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP). Samedi, ils étaient près de 150 à manifester dans les rues de cette commune du Val-d’Oise, au côté de la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) et l’Association indépendante des parents d’élèves de Franconville (AIPEF). En une semaine, 1.300 signataires se sont joints à leur pétition, remise à la mairie.
Selon eux, l’emplacement choisi par l’enseigne de restauration rapide est hautement stratégique. Situé boulevard Rhin-et-Danube, le terrain se situe non loin d’un lycée, de deux collèges, et d’un vaste complexe sportif, comprenant une piscine, une patinoire, des cours de tennis, un gymnase… Ces équipements drainent entre 2.000 et 3.000 jeunes dans le quartier. « Il n’y a rien d’autre, à part quelques immeubles. La cible, ce sont clairement les élèves. A n’importe quelle heure du jour, ils pourront y prendre des boissons sucrées, ou des repas ni variés, ni équilibrés », poursuit Michel Pierret.
Pour ces habitants, l’arrivée de ce fast-food est « une aberration », confirme Frédérick Douzet, un membre de l’AIPEF. Car depuis 2004, la commune s’est engagée dans la lutte contre l’obésité infantile. « A l’époque, le taux d’obésité infantile de Franconville était de 20 %, alors que la moyenne nationale est de 14 %. Jusqu’ici, nous étions parfaitement en ligne avec les actions de la mairie », rappelle-t-elle. Via l’opération « Franconville ville santé », la municipalité a publié des fiches pédagogiques, informé dans les écoles, organisé des forums santé. « La cantine du lycée vient d’être rénovée à grands frais par la région », ajoute Frédérick Douzet. Autant d’initiatives saluées par les parents d’élèves, qui s’interrogent : pourquoi réduire ces efforts à néant ?
« Nous avons 23 écoles sur le territoire, rétorque Sophie Chergui, à la mairie de Franconville. S’il faut faire attention pour chaque implantation d’une épicerie sous prétexte qu’elle vend des chips et des sodas, on ne pourra plus rien faire ! » Enjoignant les parents à assumer leur responsabilité, Francis Delattre, maire UMP et sénateur du Val-d’Oise, a publié une lettre ouverte sur les murs de la commune. « Il n’y a pas d’ordre moral dans cette ville pour déterminer qui peut s’installer sur le territoire de notre commune et qui peut fréquenter tel ou tel établissement », écrit-il. Au passage, il prie les manifestants de lui « éviter le discours sur la malbouffe », car « il n’y a pas plus d’obèses à Montigny-lès-Cormeilles ou à Saint-Gratien, qui supportent un McDonald’s depuis vingt ans, qu’à Franconville ». Parmi ses arguments, le maire avance la cinquantaine d’embauches promises. Mais aussi la possibilité de financer un programme de rénovation des établissements scolaires grâce au million d’euros que devrait dégager la vente de ce terrain municipal à l’enseigne de restauration rapide.
Mais pour les opposants au projet, c’est là que le bât blesse. « Le maire évoque seulement ce que cela va nous rapporter. Mais pour permettre la construction du restaurant, il va falloir modifier un parking, un rond-point, assurer le nettoyage… Qui va payer ? », s’interroge Michel Pierret. Le conseiller municipal d’opposition (PS) Steven Dutartre dénonce pour sa part « l’opacité entourant l’opération », qui a nécessité une modification du Plan local d’urbanisme. Les habitants estiment n’avoir pas été informés de la nature des travaux. « La vente a été votée le 14 septembre en conseil municipal. Deux jours plus tard, les pelleteuses étaient là ! On est tombés des nues quand on a appris qu’il s’agissait d’un McDo, d’autant que l’affichage légal n’a pas été respecté. Jusqu’au 18 octobre, rien ne l’indiquait sur le permis de construire », ajoute Frédérick Douzet. Autres préoccupations : les conséquences en terme d’environnement – le futur restaurant étant situé juste à côté d’un bois –, et de sécurité routière, puisque l’ouverture d’un McDrive devrait générer un trafic plus intense.
Alors que les murs du restaurant, dont l’ouverture est prévue fin 2011, sont déjà montés, l’enseigne se dit « surprise » par l’ampleur des réactions. « Je crois qu’il s’agit d’une méconnaissance de notre entreprise, de nos pratiques, de nos produits », défend Fabrique Buisson, directeur de la région Ile-de-France de McDonald’s. « Notre souhait, c’est aujourd’hui d’ouvrir le dialogue avec l’association des Franconvillois pour les rassurer sur toutes les questions qu’ils se posent ». Cela sera-t-il suffisant ? Les parents, loin de baisser la garde, planchent déjà sur les recours légaux possibles.
La lutte Lozérienne :
http://mcdolozere.free.fr/accueil.htm
La lutte de José Bové :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Bov%C3%A9#Affaire_du_McDonald.27s_de_Millau_.281999.29
La communication de Lacube à Toulouse et Carcassonne :
http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/15/990346-le-mac-arel-plutot-que-le-mcdonald-s.html
http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/25/1022302-mac-arel-le-burger-d-ici.html
Les autres luttes dont on parle moins :
- Centre ville de Sète (34)
- Anglet (64)
- Rennes (35)
- Pornic (44)
- Quévert (22)
- Limoges (87)
- ...
Des luttes syndicales :
A Toulouse : http://ulcgtmirail.over-blog.com/article-19104839.html
A Brest : http://www.brest.maville.com/actu/forum_-_-1158838_actu.Htm
A Paris : http://lequipier.blogspot.com/2008/09/paris-rue-de-rennes.html
A Strasbourg : http://lequipier.blogspot.com/2008/09/strasbourg-saint-denis.html
A Nîmes : http://lequipier.blogspot.com/2009/05/nimes.html
Des luttes plus globales attachées au terroir, à la protection de la Terre et de l'être humain, à la qualité de vie, à la gastronomie locale, à des modes de vie simples et sains, ...
L'association Pais Nostre :
http://paisnostre.midiblogs.com/
Le collectif des indignés audois :
http://lesindignesnarbonne.hautetfort.com/
Le comité consultatif citoyen canton de Durban Corbières
http://www.lindependant.fr/2011/09/14/un-collectif-des-indignes-audois,61384.php
http://durbancorbieres.free.fr/blog/
Et plein d'autres...
http://nonauxgazdeschistes.blogspot.com/
http://www.pasdegazdeschistes.rd-h.fr/
http://www.coalitioncontreagrexco.net/node/28
http://saint-sernin.internationalisme.fr/spip.php?article23
http://caminferrat.free.fr/1.htm
http://poetesindignes.wordpress.com/
http://www.colibris-lemouvement.org/
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